On pense tout de suite à Roberto Benigni, et son film « la vie est belle », Grand Prix du Jury à Cannes en 1998. Ce film provocateur, qui cherche à introduire le rire dans le monde sinistre de la deuxième guerre mondiale. On aime ou n’aime pas, le personnage ne peut laisser indifférent.
Si l’on pense au cyclone qui a frappé la Birmanie, aux victimes du séisme qui a secoué la Chine, ou aux libanais prisionniers de calculs macabres, la vie n’est pas aussi rose que la décrit la fameuse chanson… (Version Louis Armstrong)