Un des exercices du programme NAJATAZ, de la 7ème semaine de confinement, portait sur le discours de réception du prix Nobel en 1988 par Najib Mahfoud.
Dans sa conclusion, citant Kant et Abul ʿAla Al-Maʿarri, le seul arabe qui a obtenu cette distinction en littérature se faisait l’avocat du Bien contre le Mal.
L’être humain, face aux épidémies et autres calamités, a réussi à résister, à évoluer et à créer …
Voici ce qu’en pense Mohamed Douhate, lauréat puis collaborateur à Connect Institute :
« Averroès et ses livres brûlés, Galilée censuré, Socrate tué pour ses idées, … sont des événements qui sont liés à ce que nous pouvons relier au mal, mais cela n’a pas empêché leurs œuvres de marquer l’histoire de l’humanité et de contribuer à son épanouissement. »