Dans le métro de Montréal, deux jeunes marocains de moins de vingt ans hésitent à se décider avant de descendre. L’un des deux répond qu’ils sont de Ketama. Et qu’ils se plaisent ici parce que tout est bien, sauf le Maroc.
Continuer la lecture N°423 – Par ici le CanadaÉtiquette : Jeunesse marocaine
N°381 – AGADIR CULTURES : 5 jours sur 15
Sans recourir aux services des professionnels de l’événementiel. Mais laisser faire les jeunes.
Sans promotion tapageuse. Mais privilégier le contact direct.
Sans se spécialiser dans une seule discipline culturelle. Mais embrasser le plus grand nombre d’entre elles.
N°379 – De la rage à l’espoir
Aziza est originaire du Souss. Son père est épicier, sa mère femme au foyer.
Elle est bac+4. Elle a 24 ans.
Elle a postulé pour un travail. En sortant de l’entretien, elle a été subitement submergée par un sentiment de rage, de frustration, de désespoir. Elle s’est rendue compte qu’elle ne savait pas répondre aux questions qui lui ont été posées.
N°374 – Courage !
Une centaine de jeunes, rassemblés à El Jadida pour faire le bilan de leur apprentissage, se découvrent et se rendent compte du chemin qui reste à parcourir.
Khawla, de Khouribga, avec des yeux qui brillent, lève la main et pose une question.
Comment faire pour garder l’équilibre entre ce que veut la société de nous et ce que nous voulons de notre société ?
N°372 – L’immédiat et le long terme
Une affiche proclame : « le sucre tue ». Un passant l’observe et fulmine : « Ayons d’abord du sucre et après on verra ! «
Dans les ruelles de la médina, un jeune s’accroche à des touristes en leur proposant presque de force de leur faire le guide.
N°367 – Une ressource ignorée
Notre pays est doté d’une ressource inestimable, une richesse incomparable, un trésor sans prix.
Une ressource qui ne se commercialise pas mais que de nombreux pays nous envient.
Ces pays en ont besoin et ils cherchent à en disposer, sans le dire ouvertement.
N°363 – Talents, contenu et sens
Est-ce possible d’exister sans amour de l’autre, de la nature, de la vie ?
Est-ce possible de s’élever sans amour de la connaissance ?
200 jeunes de 7 villes différentes apportent des réponses avec amour.
La troisième édition de NABNI offre une exposition exceptionnelle faite de plus de 25 réalisations artistiques dans diverses disciplines.
N°359 – La nature a horreur du vide
Écrire des mots comme « Alhamdulillah » en lettres latines c’est commettre un péché. Cette instruction doit être observée sous peine de devenir mécréant.
Qui a inventé cette fatwa ? Comment se fait-il qu’elle soit adoptée aveuglément ?
Feuilles d’hiver (0, 1 et 2)

0. J’écris et je réfléchis. Qui va lire ces mots ? A quoi cela sert-il d’exposer mes découvertes littéraires ? De partager le plaisir que je ressens dans l’exploration des connaissances qui s’offrent à nous ? Mon objectif, mon espoir est de pouvoir communiquer l’envie à nos jeunes de créer leur propre chemin intellectuel.
Que ces écrits, ces plaidoyers viennent en appui aux actions que nous menons pour que le jeune marocain sorte de l’illettrisme qui le marginalise et porte atteinte à sa dignité. Casser le mur de l’indifférence.
N°353 – Niveau insatisfaisant de 90% des collégiens !
Sur 100 élèves marocains, à la sortie du collège public, moins de 10 ont un niveau satisfaisant en arabe, en français ou en mathématiques.
Ce sont les résultats, publiés fin novembre, d’une enquête menée par le Conseil Supérieur de l’Education.