Le Code de Hammourabi sur sa stèle, les toiles de Van Gogh, les peintures rupestres de la région d’Akka, les écrits de Mohamed Choukri, …
Qui a décrété que le jeune marocain n’a pas le droit de se cultiver, de nourrir sa créativité par les apports artistiques ou littéraires proches et éloignés ? Pourquoi est-ce qu’une certaine élite aurait le monopole de l’ouverture d’esprit et de la culture générale et que les masses de la jeunesse seraient écartées de la richesse de la pensée humaine ?
Le clivage intellectuel qui se creuse dans notre société est alarmant et se trouve à la source des tendances rétrogrades d’un côté et de la modernité superficielle de l’autre.
Inutile. Ennuyeuse. Anachronique. Ce sont des stéréotypes que certains opposent pour expliquer la mise à l’écart de la culture générale de l’esprit de notre jeunesse.
Mais lorsque l’on trouve la bonne méthode pour éveiller les esprits, nous constatons exactement le contraire.