Juste avant sa mort en 1905, le grand Cheikh égyptien Mohamed Abduh écrivait que l’instruction en Égypte avait pour résultat « qu’on avait des juges et des avocats, des médecins et des ingénieurs plus ou moins capables d’exercer leurs professions ;
mais, dans la classe instruite on ne voit pas l’homme d’esprit large, de cœur élevé, de sentiments généreux, dont la vie entière se trouve enfermée dans un idéal. »