Un être humain peut être amené à ne pas savoir que dire, que faire et qu’imaginer. Certains jeunes marocains se retrouvent dans cette situation.
Alors ils se mettent à adopter des mots, des actes, des gestes et des pensées que leur imposent les influenceurs d’ailleurs et les manipulateurs du passé.
Ils ne peuvent donc s’épanouir. Ils peinent à trouver leur propre chemin.
Ils ne sont pas capables d’être les relais nécessaires au développement humain de leur pays.
Le ministre de la culture le constate lui-même : « nous avons des bâtiments mais nous manquons de ressources humaines. »
Mais ce problème a des remèdes.
La majeure partie des lauréats de MAHIR Center de l’UM6P, quelle que soit leur formation initiale, sont maintenant impliqués dans le développement humain.