Questions pour des réponses

La tempête financière, les ambitions russes, les appétits chinois, les terrorismes de toutes couleurs…Comment les dirigeants des pays de ce monde peuvent-ils encore dormir tranquilles? Comment la politique peut-elle encore apporter les réponses adéquates à toutes ce menaces? Comment les dirigeants peuvent-ils calmer les peuples en prétendant maîtriser la situation?

Revenir aux fondamentaux, comme on dit! Et ils ne sont pas compliqués. Peut-être chacun peut trouver une voie, quel que soit son rang, en essayant de répondre à ces cinq questions. Elles charpentent un cours du programme académique d’une prestigieuse université, un coursqui cherche à montrer que les questions d’aujourd’hui, ont déjà été traitées en long et en large par la littérature d’hier…

How far do you go in sacrificing truth and sincerity in order to fit into society? 

If you find yourself a powerless leader of a country (or any organization), how do you take advantage of social tensions in order to seize control and build a relatively stable model of political power?

Why is there evil in the world and how to deal with it? What could be the role of religion in a society governed by reason? 

How social organizations as well as individuals must identify the tensions that shape society and adapt to them or disappear? 

What are the trade-offs between equality and freedom in building a new social order?
Certains ne manqueront pas de remarquer que la quatrième question est bigrment d’actualité dans notre pays!
Face à ces questions et à bien d’autres, souvent, il n’est pas inutile de trouver refuge dans la paix de certains monuments musicaux, comme ce morceau de 3 mn de l’opéra « Turandot » de Puccini chanté par Pavarotti et qui se termine par le fameux cri: VINCERÒ!!!!
Bonne écoute