« La crise de l’éducation est une crise structurelle et morale, car elle menace l’avenir des générations montantes et le destin du pays ».
Il fut un temps où ce genre de constat pouvait coûter cher à l’opposant qui osait le faire.
Aujourd’hui, le très officiel Conseil Supérieur de l’Éducation tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme. Sera-t-il entendu ?
Ceux qui lisent et analysent ce type de rapports sont déjà à l’abri. Les autres, les victimes du système éducatif actuel, ont été dépossédés de leur aptitude à l’analyse.