Tout le monde est d’accord pour affirmer que la prospérité d’une Nation est conditionnée par la « qualité » de son capital humain.
Au Maroc, il est officiellement reconnu qu’un étudiant sur deux quitte les bancs de l’université sans décrocher un diplôme.
Oublions le temps, l’argent et les énergies perdus pour obtenir ces résultats et posons les questions : Comment réagir ? Comment arrêter l’hémorragie ?
Bien sûr, il faut des réformes, il faut que les pouvoirs publics jouent leur rôle. Mais en attendant, tous ceux qui ont conscience de la gravité du problème devraient faire preuve d’imagination pour faire face aux urgences.
Au lieu de trainer dans les rues, à broyer les pensées noires, les jeunes pourraient être accompagnés dans des espaces de proximité, équipés et accueillants.
Les experts, les artistes, les intellectuels d’ici et d’ailleurs, tous ceux qui ont des connaissances à partager pourront faire oeuvre utile en se mettant au service de ces jeunes.
Nous y gagnerons tous !